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Les grandes histoires s’écrivent avec des valeurs dans le cœur des hommes.
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Photo de Luís Pinto, finaliste du Prix Emergentes dst 2011.

Respect. (do lat. respectu) s.m. 1.acte ou effet de respecter; 2.considération; estime; 3.déference; égard; vénération; 4.homenage; culte; 5.relation; référence.

Nous croyons que tout le monde doit être respecté pour son leur travail, ses attitudes, ses opinions, et ses options.

Photo de Mila Teshaieva, finaliste du Prix Emergentes dst 2011.

Rigueur. (do lat. rigore) s.m. 1.dureté; force; 2.fig., sévérité; ponctualité; exactitude.

Il n’y a pas de « plus ou moins nivelé », de « plus ou moins d’aplomb », de « plus ou moins propre » ou de « plus ou moins sûr », mais des « nivelé », « d’aplomb », « propre et sûr ». La rigueur se reflète sur nos procédés, sur les horaires et les règles à respecter. Être sévère, du point de vue des principes et de la morale, c’est être rigoureux.

Photo de , finaliste du Prix Emergentes dst 2012.

Passion. (do lat. passione) s.f. 1.sentiment intense et également violent (d’affection, de joie, de haine, etc.) qui rend difficile l’exercice d’une logique impartiale; 2.objet de ce sentiment; 3.grande prédilection; 4.partialité; 5.grand chagrin; immense souffrance.

Sous le signe de la passion - texte du poète Regina Guimarães – c’est notre symbole. La Passion c’est avoir un grand enthousiasme pour quelque chose, c’est un état d’esprit favorable ou contraire à quelque chose.
C’est la sensibilité qu’un ingénieur ou un architecte transmet à travers une œuvre.
La Passion c’est se donner à un projet. La Passion est un état d’âme chaude.

Photo de Jakub Karwowski, finaliste du Prix Emergentes dst 2012.

Loyauté. (do lat. legalitate) s.f. qualité de loyal; fidélité; sincérité.

Respect des principes et des règles qui guident l’honneur et la probité. Fidélité à nos engagements et aux contrats assumés, présence de caractère.
Être loyal avec les partenaires d’affaires, qui dépendent de nous et dont nous dépendons. Être digne de confiance parce que nous sommes loyaux.

Photo de Ian Lieske, finaliste du Prix Emergentes dst 2011.

Solidarité. (do lat. solidare) s.m. 1.qualité de solidaire; 2.responsabilité réciproque entre des éléments d’un groupe social, professionnel, etc.; 3.sentiment de partage de la souffrance d’autrui.

Être solidaire c’est être ami, c’est tendre la main avec générosité authentique, c’est donner de la joie et de la chaleur à celui qui, d’une certaine façon, est marginalisé. Être solidaire c’est être plus humain. Une entreprise solidaire est reconnue comme une entreprise juste et qui n’est pas égoïste. Une entreprise solidaire est préférée dans les affaires. C’est une entreprise plus compétitive. Le volontariat un moyen qui sert la solidarité. C’est moderne, juste, cultivé, ami. C’est un geste noble et d’élévation morale.

Photo de , finaliste du Prix emergentes dst 20

Courage. (do lat. coraticum) s.f. 1.bravoure face à un danger; intrépidité; témérité; 2.force morale face à une souffrance ou un malheur; 3. [fig.] énergie dans l’exécution d’une tâche difficile; persévérance.

Le courage est essentiel à notre vie. Courage pour faire face para aux situations moins sympathiques sur les thèmes les plus difficiles, sans attendre des solutions survenant par hasard.
C’est une valeur que nous devons souligner par opposition à peureux, lâche et paresseux. Courage pour réagir à une critique, non pas avec une attitude de démotivation ou de tristesse, mais plutôt en cherchant le moyen et l’action pour dépasser la raison de celle-ci. Ce type de courage, qui est aussi un courage intellectuel, est recommandé.

Photo de Filipa Alves, finaliste du Prix Emergentes dst 2011.

Ambition. (do lat. ambitione) s.f. 1.désir ardent de richesse, d’honneurs ou de gloires; 2.expectative par rapport au futur; aspiration; 3.convoitise; cupidité.

Désir ardent d’atteindre un objectif déterminé. Ambition pour ne pas nous résigner. Ambition pour tirer le plus grand potentiel de nous-même. Ambition pour nous mériter. Ambition pour être des athlètes dans notre profession de haut niveau. Ambition pour battre nos marques. Ambition pour faire les meilleures affaires avec la valeur maximale grâce à la plus grande compétence et efficacité.

Photo de Scarlett Coten, finaliste du Prix Emergentes dst 2011.

ESTHETIQUE. ESTHETIQUE (du grec aisthetiké, "sensible") n.f. 1. branche de la philosophie qui étudie la beauté et la nature des phénomènes artistiques ; 2. style propre à l'auteur, époque, etc. ; 3. harmonie des formes et des couleurs, beauté ; 4. ensemble de techniques et de traitements qui visent à embellir le corps.

Nous avons choisi de fonder l’économie de l’entreprise sur une image cultivée, cosmopolite et cool. Parce que c’est une façon d’être avec du charme. Bon goût parce que nous somme durables et respectons la planète. Bon goût parce que nous sommes sensibles. Bon goût parce que.

Photo de Karl Erik Brondbo, finaliste du Prix Emergentes dst 2011.

Responsabilité. (do lat. respondere) s.f. obligation de répondre de ses actions, de celles des autres ou des choses confiées.

Nous devons être sûr que, face à un choix, nous choisissons ce qui est meilleur pour les deux et non uniquement ce qui est meilleur pour chacun. Chaque collaborateur est responsable de son activité négociée et co-responsable si le collègue ne respecte pas la sienne, empêchant l’objectif commun. Une équipe c’est l’ensemble – le tout. Dans le jeu entrepreneurial, comme dans le social ou le familial, tout le monde doit respecter sa position relative et doit contribuer à ce que, par omission, nous ne permettions pas que l’un des nôtres ne soit pas l’un des nôtres.

Covid 19 measures at cafeteria tables Covid 19 signage at the entrance of the DSTGroup complex Covid 19 signage in the corridors of the DSTGroup complex mask hook 2
31/12/2020
LE DÉFI : dstgroup VS COVID-19

Environment and Health International Volume 20 no.1

Février 2020

L'année 2020 s'annonçait comme une année d'opportunités, favorisée par un contexte de croissance pour les entreprises au niveau national. Cependant, parallèlement au cadre économique favorable, le début de l'année a également apporté le COVID-19, un virus que beaucoup ont sous-estimé initialement, mais qui a rapidement donné lieu à une crise publique, à échelle mondiale, qui a déjà conduit le FMI à annoncer que l’année 2020 sera marquée par une récession mondiale aussi grave ou pire que celle observée lors de la crise financière qui a débuté en 2008.

Toutes les entreprises ont été victimes de cette pandémie qui a changé l'état, dit normal, de la société. Face à l’empreinte de désastre économique et social perceptible, le dstgroup, avec la maîtrise de ceux qui sont déjà une référence dans l'économie nationale et dans divers secteurs d'activités, a anticipé un ensemble de mesures, fondé sur la conscience et la conviction qu'il fallait continuer d’avancer et assurer, en même temps, la sécurité matérielle, sociale et mentale de plus de 2000 travailleurs qui portent quotidiennement les couleurs du groupe d'entreprises. L'objectif était clair : « arriver à la fin de cette bataille avec tous ses « soldats » debout ».

En 1946, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a défini le concept de Santé comme un « État de bien-être physique, mental et social complet et pas seulement l'absence de maladie ou d'infirmité ». En partant de cette prémisse, le dstgroup a déconstruit la définition dans les trois aspects et a mis en œuvre des mesures préventives contre le COVID-19 à tous les niveaux de l'organisation.

 

Mars 2020

Lorsque les premiers cas d'infection par le SARS-COV-2 ont surgi au Portugal, le 3 mars 2020, le Président du Conseil d'Administration du dstgroup, José Teixeira, qui a toujours suivi de près l'évolution, le développement et la prolifération du virus, avait déjà fait distribuer le premier dépliant informatif sur le nouveau coronavirus à ses travailleurs. Le 29 février 2020 a ainsi marqué le lancement du programme de prévention, d'information et de maîtrise de la propagation du COVID-19 au sein du groupe, suivi d'autres mesures, mises en œuvre à partir du 10 mars, dans le but de réduire le contact physique entre les travailleurs. La première a évidemment impacté l'heure du déjeuner, considérée comme un moment à haut risque en raison de la concentration de travailleurs dans le restaurant du campus, à Braga. Ainsi, le groupe a mis au défi les travailleurs d'opter pour le service à emporter au restaurant et de profiter de leurs moments de pause et de déjeuner dans les vastes jardins qui embellissent le siège du groupe, dans le double objectif de garantir la diminution de la concentration de personnes et de favoriser la relaxation de l'esprit et du stress, accentué par le moment d'incertitude qui commençait à être ressenti, au contact de la nature.

Toujours afin de minimiser le contact physique entre ses travailleurs, l'administration a mis, le 12 mars 2020, 108 personnes en télétravail, en obéissant à quatre critères qui étaient le contact avec des personnes infectées, la fragilité immunitaire, les femmes enceintes et les travailleurs avec des enfants mineurs.

Afin de protéger les travailleurs restants qui ont continué à occuper leur poste de travail sur le campus, la fréquence de nettoyage des espaces a été augmentée et les travailleurs ont été mis en quinconce.

Avant que l'état d'urgence ne soit décrété au Portugal, le dstgroup avait déjà défini son premier plan de prévention pour toutes les entreprises du groupe, couvrant les bureaux, les chantiers, les usines et les ateliers. Du gel désinfectant et des masques ont été dès lors distribués à tous les travailleurs du groupe.

La situation épidémique prenant de plus en plus de proportions et afin de faire face à toutes les implications externes ressenties, des mesures complémentaires ont été adoptées, parmi lesquelles le renforcement du nettoyage et des mécanismes de désinfection des différents lieux de travail, la mise à disposition de désinfectant dans tous les bureaux / chantiers, l'obligation de maintenir les portes et les fenêtres ouvertes, pour garantir la circulation de l'air, la désactivation de toute la climatisation dans les différentes installations, la distribution de kits de chantier (thermomètre, gants jetables, lingettes désinfectantes, serviettes en papier, masque jetable et sac plastique pour l'élimination de déchets), la création de salles d'isolement en cas d'identification de travailleurs présentant des symptômes, l'utilisation de plateformes numériques pour l’organisation de réunions entre travailleurs, clients et fournisseurs, en limitant les réunions présentielles à un maximum de 4 personnes et en open space et l'augmentation du nombre de conteneurs - bureau, ainsi que le nombre de toilettes chimiques sur les chantiers.

En plus de ces mesures, et afin de garantir la sécurité et le bien-être de tous les travailleurs, certains avantages exclusifs du dstgroup ont été suspendus, à savoir les services gratuits de consultation esthétique, de dentiste et de manucure, qui ont lieu dans les installations de l'entreprise, ainsi que l'utilisation des terrains de football existants sur le campus du siège et les cours de fitness qui avaient lieu en plein air sur le campus dst. Cette suspension temporaire a été décidée pour diminuer le contact physique entre les travailleurs et ainsi réduire le risque de transmission du virus.

Le 16 mars 2020, l'état d'urgence est déclaré au Portugal, ce qui a contraint de nombreux secteurs d'activité à s'arrêter. Les informations provenant des quatre coins du Monde n'étaient pas réjouissantes : l'Italie, la France, l'Angleterre, l'Allemagne et l'Espagne étaient sévèrement attaquées par cet ennemi invisible. Au Portugal, les écoles ont fermé, de nombreuses entreprises sont entrées en layoff et le secteur de la restauration a fermé ses portes. Cependant, le secteur de la construction civile a continué à fonctionner, non pas à 100%, mais à 200%.

Trois jours après la mise en place de l'état d'urgence, les équipes internationales ont commencé à rentrer au Portugal, suivant à la lettre le plan de prévention du groupe. Avec le retour de travailleurs de pays à risque, le dstgroup communique aux autorités sanitaires en manifestant sa préoccupation pour la santé de ses travailleurs et de leurs familles. Il décrète également la réalisation de tests à tous les travailleurs qui, avec le support des autorités, restent en Isolement Prophylactique.

Le plan de prévention au sein du groupe devient encore plus robuste avec la réduction de la capacité des véhicules de transport de travailleurs à 1/3, ainsi que le recours à la location de nombreux véhicules pour réduire le covoiturage, la désinfection quotidienne de ceux-ci étant obligatoire. Le 20 mars, l'utilisation de masques et de gants devient obligatoire sur tous les chantiers du groupe. Cependant, la réquisition civile d’équipements de protection individuelle par l'Etat, notamment les masques, a conduit à une pénurie de ce matériel et la gestion de la quantité de ces équipements par l'ensemble des travailleurs est devenue un défi.

La gestion des émotions a été, cependant, un défi encore plus grand. La peur et la panique se sont installées chez tous et les Techniciens de la Santé et de la Sécurité au Travail n'ont jamais eu un rôle aussi important et fondamental comme lors de cette phase de la pandémie. Gérer les personnes, calmer les travailleurs, clarifier les doutes et combattre les peurs ont été, sans aucun doute, l'un des plus grands défis que cette pandémie nous a laissés, en particulier en raison de l'évolution imprévisible et instable d'un virus jusqu'alors inconnu. Face à toute cette situation, marquée par l'incertitude, le Président du dstgroup a mis en œuvre, le 25 mars, quelques mesures pour remonter le moral de ses travailleurs. Pour atténuer le stress déjà fortement ressenti, des consultations gratuites avec un psychologue ont été mises à disposition et des déjeuners thématiques ont été mis en place, préparés par des chefs de renom, certains avec des étoiles Michelin, comprenant toujours le service à emporter qui se maintient encore aujourd'hui.

Les installations et les chantiers ont également été soumis à des mesures ajustées au moment de la pandémie. Sur les fronts de chantiers, des pulvérisateurs ont été mis à disposition et tous les espaces communs ont commencé à être désinfectés, des prises de température étant également commencées pour les travailleurs au début de la journée de travail. Lors de cette période, l'utilisation obligatoire de visières sur les chantiers a également été introduite qui, comme elles ne sont pas pratiques, ont dû être adaptées à travers un système d'amarrage aux casques, une solution créée par le dstgroup pour répondre au problème de l'inconfort et de l'inadéquation de l'équipement au type de travail développé sur site.

Afin de quantifier le risque de transmission de la maladie dans les entreprises du groupe, la première Identification des Dangers et Évaluation des Risques (IDER) du COVID-19 est réalisé le 30 mars, transversale à toutes les activités du groupe.

 

Avril 2020

Prenant en compte la philosophie d'amélioration continue de ses processus, le dstgroup démarre le 1er avril les réunions KAIZEN dans tous les départements y compris la Sécurité, où sont discutées les mesures préventives et leur amélioration dans la lutte quotidienne contre le virus. Le Président du Conseil d'Administration lance le défi de présenter de nouvelles idées pour lutter contre la transmission de la maladie lors de ces réunions hebdomadaires. Son implication est notoire, en participant quotidiennement à l'une des réunions KAIZEN et deux fois par semaine aux réunions avec le département de la Sécurité.

Le 9 avril, avec la collaboration de l'Université du Minho, de l'Université de Porto et d'Automaise, l'Assistant Numérique Covid-19 est lancé, accessible à tous les travailleurs via l'intranet du dstgroup. Cet assistant numérique vise à aider à évaluer les symptômes et le risque de propagation de la maladie.

Ce même jour, le gilet de sécurité est lancé, qui identifie les mesures de prévention sur le dos et dont la distribution auprès des travailleurs et des sous-traitants a lieu le 13 avril.

Les outils qui passent de main en main deviennent une source de préoccupation. Ainsi, une tentative a été faite pour trouver une solution afin d’éliminer cette source possible de propagation. Les outillages étaient déjà organisés en tenant compte de la philosophie 5S (Seiri, Seiton, Seisó, Seiketsu et Shitsuke), ce qui a facilité la mise en œuvre de la solution trouvée. Tous les outils, lorsqu'ils sont retournés à l'outillage, passent par un processus de désinfection, exclusivement après lequel ils peuvent être de nouveau sollicités.

Afin de gérer plus efficacement les Équipements de Protection Individuelle, le Département de Sécurité et le Centre Logistique du dstgroup créent le 20 avril le groupe G Covid, destiné à la demande de tout type de matériel lié aux mesures de prévention du COVID-19.

Toujours au mois d’avril, deux actions ont été lancées, avec pour objectif de minimiser l'impact émotionnel sur la vie des travailleurs et, dans le même temps, de leur fournir des outils intellectuels issus de la lecture d'extraits de livres sur divers sujets. Ce sont les séries « Leitura Furiosa às Quintas » et « O que ando a Ler » mises en œuvre le jeudi et le vendredi, respectivement, sur une base hebdomadaire. De cette manière, les travailleurs sont, chaque semaine, mis au défi d'intégrer une dimension humaniste, rationaliste et de la Renaissance, à travers des philosophes, des sociologues et des économistes comportementaux, tels que Rousseau, Edgar Morin, Sartre, Albert Camus, Hanna Harent, Joseph Maria Esquirol, Raimond Aron, Adam Grant, Bauman, Jorge Steiner, parmi beaucoup d’autres.

 

Mai 2020

En mai, les médias ont commencé à divulguer l'existence de plusieurs épidémies dans le secteur de la construction civile, l'un des secteurs où il existe le plus de stéréotypes, soit en raison du faible niveau d'alphabétisation des travailleurs, soit en raison de la panoplie de nationalités. En première ligne de cette situation, le président du Conseil d'Administration du dstgroup a rassemblé les équipes et favorisé la réalisation de l'évaluation des groupes à risques, en tenant compte de différents critères, comme la mobilité, les lieux de nuitées des travailleurs (afin de respecter les conditions d'hygiène), l’existence de maladies associées, la faible alphabétisation et les comportements résistants aux protocoles de lutte contre le Covid. Cette liste de travailleurs, qui présentent un plus grand risque de contagion, est travaillée de manière plus intensive et avec un langage qui s'identifie à ce type de public.

De cette liste de risques provient la liste d’observateurs, constituée d'une équipe pluridisciplinaire de travailleurs dans le but de vérifier le respect des mesures préventives et de contribuer à la conversion des travailleurs les plus résistants qui s'opposent aux mesures existantes.

Le 11 mai, la règle d'utilisation obligatoire de masque à l'intérieur des véhicules a été instituée, ainsi que le renforcement avec tous nos partenaires des mesures en vigueur, afin de favoriser leur adoption auprès d’eux.

Le 13 mai, des groupes de travail ont été créés au sein du département de sécurité pour élaborer des histoires sur les expériences des travailleurs qui ont été malades et qui ont vécu de près de l'isolement prophylactique. L'objectif a été de sensibiliser les travailleurs à la nouvelle réalité et aux difficultés rencontrées par ceux qui ont traversé cette pathologie.

La nécessité de ne pas abandonner et de continuer à innover a toujours été un impératif du dstgroup. Et, dans un contexte de pandémie, cela ne pouvait pas être différent. Ainsi, à la fin du mois de mai, de nouvelles formes de lutte ont été mises en place avec l’installation de lave-mains et de miroirs dans toutes les entrées de chantier et dans les réfectoires. Les miroirs ont servi de véhicule pour la transmission de messages, changés chaque semaine, visant à poursuivre la mission de sensibilisation des travailleurs. La campagne a commencé par la phrase : « Prends soin de toi, nous voulons te revoir ».

Afin de poursuivre la préoccupation grandissante et l’amélioration des conditions des travailleurs, début juin, des cloisons vitrées ont été installées dans les postes de travail, avec un emplacement spécifique pour la pose du masque, mesure étendue au restaurant M du dstgroup, ainsi que dans le garde-manger des immeubles de bureaux. Cette mesure a également été répliquée pour les réfectoires de chantier, ceux-ci étant adaptés à la réalité des travaux. Dans les conteneurs de réfectoire, par exemple, il a été défini qu'il n'y aurait que six places, avec des tables équipées de séparateurs en acrylique. Pour atténuer l'accumulation de travailleurs, plusieurs équipes ont également été créées pour les périodes de déjeuner.

L'installation de tables avec des séparateurs en acrylique dans les réfectoires a été si bien acceptée par les travailleurs que nous avons innové les mesures, en adaptant tout le mobilier sur site, principalement dans les vestiaires. Nous avons limité le nombre de travailleurs autorisés pour chaque espace (en tenant compte de la surface utile). Tout cela dans le but de continuer à améliorer les conditions de travail dans tous les lieux possibles.

 

Juin 2020

Au cours des deuxième et troisième semaines du mois de juin, la Direction Générale de la Santé et le Ministère de la Santé avec l'Autorité des Conditions de Travail et le Ministère du Travail, de la Solidarité et de la Sécurité Sociale, ainsi que l'Administration Régionale de la Santé de plusieurs Zones Régionales du Pays, ont effectué des visites d'inspection et de surveillance dans le secteur de la construction civile, à travers des tests massifs des travailleurs et la réalisation d’enquêtes sur les conditions sanitaires de leurs habitations. À la suite de ces visites d'inspection, le 11 juin 2020, la norme directrice de ce secteur a été publiée, dans laquelle sont stipulées les mesures qui étaient déjà mises en œuvre sur les chantiers du groupe.

Au cours de ces sept mois, plusieurs tests de dépistage ont été réalisés aussi bien pour nos travailleurs que pour nos partenaires et les coûts ont été entièrement pris en charge par le dstgroup. Les réalisations des tests ont toujours été effectuées avec le consentement des travailleurs, notamment ceux qui revenaient de congés ou du télétravail, et également dans le cas de nouvelles admissions, de stages et des personnes ayant voyagé à l'étranger.

Le dépistage est perçu de deux manières dans le groupe : d'une part, il s'agit de l'État de Santé des travailleurs et, d'autre part, il s'agit de contribuer à l'atténuation de l'état d'incertitude et d'anxiété de ceux qui travaillent, afin d’apaiser les craintes non seulement pour l'aspect du travail, mais également pour la famille et pour protéger les personnes présentes sur le chantier.

Dans le complexe du dstgroup, des tours avec des distributeurs de gel d'alcool et des lecteurs de température corporelle automatiques ont été installées. Toutes les personnes qui entrent dans le complexe doivent passer par les tours afin de se désinfecter les mains et, si elles ont de la fièvre, leur entrée dans le complexe n'est pas autorisée.

 

Juillet / août 2020

En accord avec sa réflexion stratégique de fournir aux travailleurs des outils mentaux et un esprit critique, le Président du Conseil d'Administration a encouragé, au cours de cette période, la réalisation de différentes formations dans le domaine de la psychologie, de la philosophie et des neurosciences. L'objectif est de stimuler les compétences pour mieux gérer les émotions et les frustrations de cette lutte - toujours sans fin en vue - contre l'ennemi invisible. La formation en Santé mentale a récemment terminé - mind@work dans laquelle nous avons abordé des sujets tels que la santé mentale et le bien-être sur le lieu de travail, la connaissance de soi, la communication et l'empathie et la parentalité positive. Le bullying et la résolution de conflits, le stress, le burnout et le worklife balance ont été les sujets abordés dans cette formation. Pendant ce temps, des « small talks » ont commencé, visant à promouvoir les connaissances dans le domaine des neurosciences, de l'émotion et de la raison. Ces sessions ont pour but de fournir, renforcer et optimiser les compétences comportementales des travailleurs, dont la plupart sont formés dans les domaines techniques et d'ingénierie.

Dans une recherche permanente d'amélioration des conditions de travail et de nouvelles mesures préventives, le groupe a mis à jour les mesures mises en place dans les réfectoires et les vestiaires et a recréé le mobilier des bureaux de chantier avec la mise en place de séparateurs en acrylique. Ces mesures, en phase avec la limitation du nombre de travailleurs dans les espaces fermés, cherchent à réduire encore plus le risque de contagion parmi les travailleurs.

Avec l'arrivée de la deuxième vague et l’augmentation de cas dans le monde, il a été décidé d'utiliser un masque en permanence dans tous les espaces et pas seulement au contact des travailleurs. Ainsi que la création de bulles / clusters entre équipes de travail.

 

Septembre / octobre 2020

Avec l'arrivée de l'hiver, le groupe a entamé de nouveaux efforts pour adapter divers espaces dans les bureaux, afin qu'ils puissent être utilisés comme garde-manger pour les repas à emporter. Le restaurant M est également équipé d'un drive-in dans un espace indépendant pour faciliter la collecte des plats à emporter. Simultanément, des tests se déroulent dans l'une des usines du groupe, où un tunnel de désinfection est actuellement testé pour l'entrée et la sortie des travailleurs.

Au cours de ces mois, le dstgroup a également renforcé sa politique de responsabilité sociale et mis en place un plan d'accompagnement des partenaires externes, comme ce fut le cas de la Companhia de Teatro de Braga, à qui il a garanti les salaires pendant quatre mois, ou de la Liga Amigos do Hospital de Braga et d'autres institutions de santé, qu'il a soutenu en offrant des masques. Le groupe a également installé plusieurs conteneurs pour la réalisation de tests Covid-19 afin d'aider la Municipalité de Braga et l’ARS-Norte. Il a également offert 50 nouveaux ordinateurs portables aux étudiants défavorisés du groupe scolaire Sá de Miranda, à Braga, parmi de nombreuses autres initiatives.

Chaque jour, les Techniciens de Sécurité et le Président du Conseil d'Administration cherchent de nouvelles voies de sensibilisation, de formation, de changement des mentalités et des habitudes culturelles. Chaque semaine, nous recherchons des idées innovantes pour lutter contre ce combat et rester en bonne santé.

Après neuf mois de cette lutte invisible, celui qui était inconnu de tous a commencé à marcher à nos côtés.

Les entreprises ont dû s'adapter et les travailleurs également. La lutte n'est pas toujours facile et, parfois, elle semble même peu glorieuse, surtout quand nous savons que l'un des nôtres est un cas suspect. Nous pensons immédiatement : « Quelle erreur s’est produite ? Qu'est-ce qui a échoué ? Où aurions-nous pu faire mieux ? »

La résilience est le mot d’ordre de toute cette bataille, nous ne pouvons pas abandonner, nous ne pouvons pas abandonner le navire, nous devons continuer aux côtés de tous les travailleurs.

Pour finir par une phrase de notre commandant, le Président du Conseil d'Administration, José Teixeira, « Il n'est pas facile de définir une âme ou d'écouter ce que notre cœur dit, mais, dans ce groupe, nous sommes ce que nous faisons : Une culture de construction qui construit la culture, et ainsi, à travers la construction de la culture, nous nous battons chaque jour ».

 

Article rédigé par les TSST António Santos, Carla Santos et Magda Cordeiro au nom du département de l’hygiène et de la sécurité au travail du dstgroup